FAQ

Une fois que vous démarrez le JEU vous allez être guidé, à l’aide de questionnaire précis, sur les chemins de vos émotions. Pour cela vous avez juste besoin d’être présent à vous-même, au terme  de quoi une proposition de différentes Fleurs de Bach vous sera indiquée,  avec la possibilité de faire réaliser ce mélange par Jardins Cocreatifs à l’aide des Fleurs de Bach Traditionnelles sans alcool. 4 jours après vous recevrez un flacon de verre  de 30ml dans votre boite aux lettres. 

Mais encore ?

Ce qui vous est proposé ici tient en quelques points :

. Suivre pas à pas un processus (confidentiel) pour déterminer le mélange d’essences florales qui va correspondre aux émotions auxquelles vous voulez redonner de l’équilibre. La question ici est : que voulez-vous soulager, que voulez-vous transformer ?

. C’est un processus de vous à vous. Aucun jugement, vous êtes invité à être simple dans vos choix, d’aller au plus juste, d’être sincère et bienveillant envers vous. Faites appel à votre discernement. Ayez confiance dans votre capacité à progresser.

. Ainsi, vous développez votre autonomie en choisissant d’emblée ce qui vous importe.

. Si vous avez l’impression de vous tromper, vous pouvez toujours revenir en arrière pour réévaluer vos choix.

. Si vous avez besoin d’aide, prenez contact avec nous.

La vie de chacun de nous est comme un jardin parsemé d’émotions multiples vécues selon les circonstances et les enjeux.

Ces émotions sont plus ou moins équilibrées et peuvent donner une sensation d’inconfort réel.

Et nous pouvons souffrir, à des degrés divers, du poids de cet inconfort.

Identifier ce déséquilibre est un moment important. Cela nous permet de rencontrer notre désir de faire évoluer cette situation. Alors, comment passer à une expérience plus équilibrée, plus simple à vivre, plus vraie, plus juste avec nous-même ? Les élixirs de Fleurs offrent une aide concrète pour favoriser ce passage.

Le présent : Tout d’abord, dans toutes ces dimensions, vous êtes invité(e) à accorder de l’attention aux mots qui illustrent ce que vous ressentez d’inconfortable ou en manque d’équilibre en vous aujourd’hui. Un exercice qui vous reconnecte à l’écoute de ce qui se passe en vous maintenant et de ce que vous aimeriez redynamiser à partir de maintenant. Croyez en la vertu du « pas à pas ». Commencez avec ce que vous vous sentez capable d’envisager.

Ensuite, il n’y a aucune incompatibilité entre ces familles ni entre les fleurs. Toutes les associations sont envisageables.

Ces familles définissent des champs d’expériences bien identifiées :

  • Peurs (5 fleurs)
  • Sentiments de solitude (3 fleurs)
  • Manque d’intérêt pour le présent (7 fleurs)
  • Abattement et désespoir (8 fleurs)
  • Hypersensibilité aux influences et aux idées (4 fleurs)
  • Incertitude (6 fleurs)
  • Souci excessif du bien-être d’autrui (5 fleurs).

A chaque étape, vous trouverez une icône d’aide (symbolisée par un i) vous permettant d’en savoir plus sur chaque famille.

Les Fleurs de Bach existent depuis 1936. Nous en sommes toujours à des suppositions sur les processus de fonctionnement. La seule certitude est que l’essence correctement choisie vous permet de ressentir en vous la capacité à l’harmonie là où il n’y avait que douleur, peur, incertitude, culpabilité etc…

L’essence de fleur vous offre la révélation d’une qualité dont vous étiez, pour une quelconque raison, séparé.

La nature humaine est riche et offre de multiples facettes parfois apparemment opposées. Vous pouvez être très autoritaire dans certaines situations et ne pas savoir dire non dans d’autres cas. Cela dépend souvent du moment, de l’environnement, du contexte.

Chacune de ces essences correspond à un état d’être précis. Avec un peu d’habitude, vous saurez faire la distinction là où vous trouviez confusion.

Oui. Quelques exemples simples :
. 5 à 8 gouttes dans l’eau du bain
. 1 ou 2 gouttes dans une huile de massage ou un lait corporel à appliquer localement.
. 1 ou 2 gouttes en massage sur les tempes, le pli du poignet, le plexus solaire.
. Si vous vous y connaissez mieux, 1 goutte sur un centre énergétique.
. 1 ou 2 gouttes sur une compresse humide à appliquer localement.

A moins d’être dans un milieu très chaud (local particulier ou pays chaud), il n’est pas nécessaire de conserver vos élixirs au réfrigérateur. Protégez-les de la lumière, ne les laissez pas à côté d’un écran TV ou d’ordinateur ou d’un appareil électrique, refermez bien votre flacon après usage. Ce sont des préparations délicates, accordez-leur un minimum d’attention et de bon sens.

Non. La maladie, la pathologie sont des appels au secours. Edward Bach considérait que ces manifestations sont des chances qui nous sont données pour prendre conscience que quelque chose doit changer. La maladie reste une indication précieuse mais elle ne peut être associée à une essence de Fleur.

Non, bien sûr. La maladie est sans doute le dernier argument qu’a le corps pour exprimer le mal-à-vivre. Votre nature vous transmet de nombreux avertissements avant d’avoir recours à cette extrémité. Accepter d’y être attentif vous permet d’agir et de redresser votre orientation intérieure de façon continue. “Qu’est-ce qui vous rend vivant ?”

De nombreux professionnels de la santé s’intéressent aux Fleurs de Bach. Les Fleurs de Bach ne sont pas des médicaments, elles ne remplacent pas l’aide thérapeutique classique d’un professionnel. L’intérêt de ces professionnels est dû au fait qu’une personne capable de manifester son équilibre potentiel  et son harmonie est infiniment plus réceptive aux soins qui lui sont prodigués et s’ouvre plus rapidement au chemin de la guérison. Si vous en ressentez le besoin, n’hésitez pas à demander le conseil d’un de ces professionnels.

Ceci dit, Edward Bach par son travail incite chacun de nous à devenir toujours plus responsable de ce qu’il vit. C’est dans notre attention au quotidien que nous pouvons dénouer rapidement des noeuds de souffrance et nous libérer ainsi de leur poids. Savoir demander de l’aide, ou accepter de l’aide, est souvent une marque d’humilité salutaire. Demander de l’aide à tout bout de champ peut être la marque d’une dépendance ou d’une fragilité significative. Là encore, c’est une affaire de juste milieu.

Je n’ai pas l’impression que quelque chose ait changé.

Plusieurs hypothèses :

  1. Vous utilisez un élixir inadapté à la situation.
  2. Il arrive souvent, surtout dans le cas d’un flacon de dilution, que les changements s’inscrivent de façon très douce, très progressive, dans les actes quotidiens. Il suffit d’un retour sur soi, de la réflexion d’un ami, d’un détail anodin pour se rendre compte que quelque chose a changé.
  3. Le plus délicat : “Guérir, c’est changer”. Certaines personnes souffrent d’une situation particulière, elles aimeraient bien que les choses s’arrangent, presque par miracle, comme un coup de baguette magique, mais ne veulent absolument rien bouger dans leur vie. Les essences nous proposent toujours une ouverture vers le renouveau. Encore faut-il l’accepter. Il arrive que certains refusent ce changement. D’où un résultat apparemment décevant. Le changement ne peut venir que de l’intérieur.

Les Fleurs sont sans effet secondaire. Dans quelques rares cas, certaines personnes utilisant une dilution d’élixir pour la première fois peuvent avoir l’impression sur une courte période (quelques minutes à quelques heures) de vivre avec plus d’ampleur l’état émotionnel qu’elles souhaitent harmoniser. D’où une certaine surprise. Ces personnes ont sans doute abordé une émotion très protégée qui les touche profondément. Dans ces cas, tout se passe comme si la structure de la personne devenant plus souple laissait s’échapper le trop plein. Si la situation devient inconfortable, espacez ou suspendez pour quelques temps vos prises pour prendre du recul.

 

Même si la connaissance des essences florales est utile, même si une certaine technique est nécessaire pour bien comprendre, utiliser et conseiller les Fleurs, gardons toujours présent à l’esprit que toutes ces découvertes sont le fruit d’une philosophie de vie, d’une qualité certaine d’appréciation de la vie. Le Dr Bach n’était pas un ascète coupé de tout et uniquement habité d’une vision étrange. Il vivait dans le monde, il était comme chacun de nous empreint de son humanité et c’est sans aucun doute ce qui lui a permis de toucher des parts de lui si humaines et si simples que chacun peut s’y reconnaître. Le seul texte qu’il ait souhaité laisser après lui (Heal thyself – Guéris-toi toi-même) et les quelques rares documents préservés par ses proches montrent un homme soucieux de nous aider à changer notre regard, donc à guérir de nos douleurs de vie en comprenant mieux la vraie nature de notre raison d’être. La naissance, la vie terrestre, la mort, tout cela a eu pour lui un sens profond au point qu’il fut capable d’accueillir l’idée de sa fin de vie, courte selon nos critères habituels, avec confiance, sachant que son rôle ne s’arrêtait pas là.

Au-delà de toutes les connaissances que nous pouvons accumuler sur les Fleurs et leur usage, il est sans doute essentiel de garder vivantes en soi ces quelques notions de base que sont la présence à ce que nous sommes à chaque instant, la présence à ce qui nous anime, la présence à ce vers quoi nous souhaitons tendre. Il me semble que ce serait une façon élégante et vivante de répondre à la vision d’hommes tels que le Dr Edward Bach.

Notre langage courant nous donne la sensation de raconter ce que nous vivons alors que souvent nous ne faisons que l’effleurer. Mais nous avons cependant l’impression de dire tout ce qui est en nous. Avec les Fleurs de Bach, il nous faut aller vers des éléments plus explicites de notre ressenti et rester prudent quant aux informations implicites qui donnent l’impression souvent trompeuse de donner un aspect juste de nous. Quand quelqu’un utilise un mot comme “stress”, “angoisse”, “déprimé”, “fatigue”, “colère”, “manque de confiance”, “lâcher prise”, “deuil” voire “insomnie”, cela ne couvre pas forcément le même vécu que pour vous. Même pour vous, cela pourra avoir une coloration différente suivant le moment et la situation. Rappelez-vous que la dynamique des Fleurs de Bach ne considère un symptôme que comme une indication sur la qualité du mal-être, et non pas comme le moyen de trouver la fleur la plus utile.

  • Le stress est vécu à quel moment ?
  • Dans quelle circonstance ?
  • Est-ce lié au milieu professionnel, à la famille, à une relation affective ?
  • Pouvez-vous décrire une situation simple de votre vie où vous reconnaissez cette sensation de stress ?
  • Est-ce fréquent ?
  • Si oui, avez-vous l’impression que le stress apparaît pour les mêmes raisons à chaque fois ?
  • Où sentez-vous le déséquilibre ?
  • A quoi est-ce que vous aspirez à travers cette situation ? Qu’est-ce qui vous semble en jeu à ce moment ?

Toutes ces questions visent à ouvrir la perspective que vous pouvez avoir sur ce stress. Vous remarquerez que nous ne nous intéressons pas à ce qui a pu se passer avant. Le passé n’a d’intérêt que si son vécu est toujours d’actualité. De même que l’hypothétique “stress” à venir n’a pas plus d’intérêt pour nous, nous ne sommes pas dans une dynamique préventive de ce qui peut advenir ni curative de ce qui fut. Notre seul désir est d’ouvrir à la dynamique du rééquilibrage dans le présent donc du retour à “qui et ce que l’on est”.